Le Baptême


La demande de Baptême doit se faire au moins 6 mois avant la date souhaitée, lors d’une permanence à la Maison Paroissiale de Châteauneuf.

  • Rencontres en paroisse : pour les parents d’un enfant de – 4 ans.
  • L’Éveil à la Foi : pour les enfants âgés de 4 à 7 ans,
  • La Catéchèse : pour les enfants âgés de 8 à 11 ans,
  • L’Aumônerie du collège ou du lycée : pour un jeune de 12 à 17 ans.
  • les 2ème et 4ème samedi dimanches du mois après la messe, là où elle est célébrée. (cf : page 8 du guide paroissial)
  • les 1er et 3ème samedis du mois à 11h : lieu fixé selon les inscriptions.

L’Offrande de baptême est indiquée ici

Les parents demandent souvent le baptême pour protéger leur enfant. Mais être baptisé de quoi cela nous protège-t-il ? Voici quelques éléments de réponse du Service Foi-Liturgie du diocèse d’Angers…

Devenir parent est un de ces moments de l’existence qui amènent à se poser des questions. Mettre au monde un enfant, c’est commencer à craindre pour lui. Il est si fragile, si dépendant.

Mettre au monde un enfant, c’est aussi se poser la question de son bonheur. Nous le savons, la souffrance, le mal sont présents dans le monde dans lequel nous vivons.

L’enfant qui vient de naître aura à se diriger dans un monde où le bien et le mal se côtoient, s’entremêlent, dans un monde où tous les choix semblent possibles.

Saurons-nous l’aider, le guider, le protéger ? Se poser ces questions existentielles touche à nos convictions, nos croyances et notre foi.

  • se tourner vers l’Église, vers la communauté des croyants au Christ mort et ressuscité, croire que la Vie est plus forte que la mort.
  • l’immerger dans une source inépuisable de vie, d’amour, celle de Dieu mettre son enfant sur le chemin de la rencontre du Christ
  • lui offrir « une vie nouvelle, non plus à la merci du mal, du péché et de la mort mais sans la communion avec Dieu et avec nos frères ». [1]
  • re-plonger dans notre propre baptême qui nous a fait membre du Corps du Christ, Temple de son Esprit, Peuple de Dieu
  • se poser la question de la transmission de la foi, du comment « partager cette expérience d’un amour qui nous précède tous et qui nous demande d’être des « canaux » de cet amour les uns pour les autres malgré nos limites et nos péchés. [2]